Tuesday 16 April 2024
My account
You are not logged into the system
.
Payment secured by Credit Agricole e-transactions
Basket
The basket is empty

À compter du 29 août 2018 les connexions sont cryptées pour la sécurité de vos paiements.

Corps étranger (Catherine Lalonde)

Lalonde Catherine

Corps étranger

EditeurLa passe du vent
Québec Amérique

CollectionPoésie

Date de parution03/2008

ISBN/code barre978-2-84562-128-2

Format (mm)140 × 215 mm

ReliureBroché, couverture avec rabats

Nombre de pages128

Poids195 g

Price £ 15.00
Run over

Dans ce poème, où il est clairement indiqué que l’amour pousse pire à Montréal que le chiendent, Catherine Lalonde nous entraîne dans un corps à corps singulier, érotique et mystérieux, mais avec la retenue nécessaire à ce genre d’exercice — tout à la fois sensuel, charnel et spirituel. Mais ce qui compte le plus ici, elle (Catherine) le dit à son « immigrant illégal », son étrange étranger : « Tu massacres ma retenue et les dictionnaires. » On l’aura compris, le sens — au bon sens du terme — ici importe peu, c’est le rythme qui dicte sa loi : « Tu me laisses en flaque jouie au soleil », c’est la langue qui impose ses vertus : « Ta langue de marché noir sur mon corps comme sur une boucherie ». Un texte où la chair enfin s’incarne ! Prix Émile Nelligan 2009.

Dans ce poème, où il est clairement indiqué que l’amour pousse pire à Montréal que le chiendent, Catherine Lalonde nous entraîne dans un corps à corps singulier, érotique et mystérieux, mais avec la retenue nécessaire à ce genre d’exercice — tout à la fois sensuel, charnel et spirituel. Mais ce qui compte le plus ici, elle (Catherine) le dit à son « immigrant illégal », son étrange étranger : « Tu massacres ma retenue et les dictionnaires. » On l’aura compris, le sens — au bon sens du terme — ici importe peu, c’est le rythme qui dicte sa loi : « Tu me laisses en flaque jouie au soleil », c’est la langue qui impose ses vertus : « Ta langue de marché noir sur mon corps comme sur une boucherie ». Un texte où la chair enfin s’incarne ! Prix Émile Nelligan 2009.