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Le français, langue des droits de l'homme ? (Rocard Michel)

Rocard Michel

Le français, langue des droits de l'homme ?

Essai

EditeurLa rumeur libre

CollectionPépites

Date de parution01/2023

ISBN/code barre978-2-35577-277-1

Format (mm)125 x 210

ReliureBroché

Nombre de pages80

Poids103 g

Prix 13,00 €
Feuilleter

Cet ouvrage est une réédition d’un essai paru en 1998. En cette année riche en commémorations liées aux droits humains – Édit de Nantes (1598), Abolition de l’esclavage (1848), J’accuse ! d’Émile Zola (1898), Déclaration universelle des droits de l’homme (1948)… –, Michel Rocard est, à quelques jours de la Journée internationale de la Francophonie, sollicité par la Fondation La Poste et la Direction régionale des affaires culturelles de Rhône-Alpes pour livrer ses réflexions en réponse à l’interrogation suivante : « Le français, langue des droits de l’homme ? ».

Cet ouvrage est une réédition d’un essai paru en 1998. En cette année riche en commémorations liées aux droits humains – Édit de Nantes (1598), Abolition de l’esclavage (1848), J’accuse ! d’Émile Zola (1898), Déclaration universelle des droits de l’homme (1948)… –, Michel Rocard est, à quelques jours de la Journée internationale de la Francophonie, sollicité par la Fondation La Poste et la Direction régionale des affaires culturelles de Rhône-Alpes pour livrer ses réflexions en réponse à l’interrogation suivante : « Le français, langue des droits de l’homme ? ».

Pour Michel Rocard, c’est sans conteste en français qu’a été précocement formulé ce qu’il est convenu d’appeler désormais les « droits humains ». Mais, tout autant que leur affirmation, la négation de ces droits s’exprime aussi dans notre langue. Par conséquent, aux yeux de l’auteur, l'avenir du français dépend surtout du dynamisme de notre langue dans le mouvement du monde et de sa capacité à prendre en compte les évolutions de la société contemporaine. 

C’est la stimulante intervention de l’ancien premier ministre que le présent ouvrage donne à lire, accompagnée d’une postface permettant de mesurer tout à la fois, un quart de siècle plus tard, l’actualité de son texte et les évolutions qu’a connues, depuis 1998, la question des droits culturels.