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Un théâtre de verdure
EditeurLa rumeur libre
CollectionPour la scène
Date de parution07/2018
ISBN/code barre978-2-35577-152-1
Format (mm)141x192
ReliureCahiers cousus, couverture avec rabats
Nombre de pages64
Poids90 g
En septembre 2015, Patrick Dubost est invité pour trois semaines de résidence à la Maison Rimbaud, à Charleville-Mézières, avec une commande d’écriture assez libre et souple, en lien avec le Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes... Juste trois mots : poésie, paysage, marionnette.Dans les pages de ce livre, outre les trois mots de la commande, treize mots se définissent comme « paysage » au sein de paysages bien réels (les abords de la Meuse, cette Maison Rimbaud), manipulent certains mots comme des « objets » parmi d’autres objets bien réels (nos amies les marionnettes). Dans ce théâtre de verdure se pose en continu la question de la poésie, sa présence, sa réalité, ses contours, sa nécessité, son ancrage dans un corps, une voix, un rythme, ce qu’elle parvient à traduire de l’objet, du réel qu’elle induit, tout entier taillé dans une matière de langue.
(4ème de couverture)
Il y a quelques années paraissait le texte : « Le mot ‘jardin’ ». Puis « Le mot ‘avenir’ », « Le mot ‘fée’ », ainsi qu’une première version de « Le mot ‘poésie’ ». Tous publiés (ou réédités) dans
le tome 2 des Œuvres Poétiques aux éditions La rumeur libre. Ces textes ont posé une forme de travail de navigation entre le mot sans guillemet (pour l’objet qu’il désigne) et le mot entre guillemets (pour l’objet sonore et visuel qu’il devient).
En septembre 2015, Patrick Dubost est invité pour trois semaines de résidence à la Maison Rimbaud, à Charleville-Mézières, avec une commande d’écriture assez libre et souple, en lien avec le Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes. Juste trois mots : poésie, paysage, marionnette.
Dans les pages de ce livre, outre les trois mots de la commande, treize mots se définissent comme « paysage » au sein de paysages bien réels (les abords de la Meuse, cette Maison Rimbaud), manipulent certains mots comme des « objets » parmi d’autres objets bien réels (nos amies les marionnettes).
Dans ce théâtre de verdure se pose en continu la question de la poésie, sa présence, sa réalité, ses contours, sa nécessité, son ancrage dans un corps, une voix, un rythme, ce qu’elle parvient à traduire de l’objet, du réel qu’elle induit, tout entier taillé dans une matière de langue.