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Le Fil rouge. 1958-2008
EditeurLa passe du vent
CollectionPoésie-photos
Date de parution07/2008
ISBN/code barre978-2-84562-139-8
Format (mm)200 × 210 mm
ReliureDos carré collé, cahiers cousus
Nombre de pages96
Poids337 g
IllustrationPeintures de Madeleine Lambert
« Une fraîcheur de vision chez un peintre est assez rare pour être frappante lorsqu’on la rencontre. C’est le cas de Madeleine Lambert. Ce peintre a suivi une évolution où les facteurs dominants ont toujours été un dessin vigoureux et un penchant vers l’inconnu. Figuratif, abstrait, qu’importe ? Ici ce qui compte c’est l’aventure d’un trait sur une surface — et pour la suivre il faut d’abord abandonner ses préjugés accumulés dans un milieu et dans une époque où tout ce qui n’est pas conforme aux besoins de la mode est ignoré. Partant d’un sujet humble (portrait, nature morte, paysage), Madeleine Lambert, distille, élimine et ajoute, jusqu’à ce que se trouve devant elle une image indépendante et seule. Dans tout ce que j’ai vu de son œuvre, je retrouve toujours cette force qui fait respirer les toiles de certains et dont le manque fait la médiocrité des autres. » (Jim Leon, extrait du catalogue : Rencontre lyonnaise, 1962.)
« Une fraîcheur de vision chez un peintre est assez rare pour être frappante lorsqu’on la rencontre. C’est le cas de Madeleine Lambert. Ce peintre a suivi une évolution où les facteurs dominants ont toujours été un dessin vigoureux et un penchant vers l’inconnu. Figuratif, abstrait, qu’importe ? Ici ce qui compte c’est l’aventure d’un trait sur une surface — et pour la suivre il faut d’abord abandonner ses préjugés accumulés dans un milieu et dans une époque où tout ce qui n’est pas conforme aux besoins de la mode est ignoré. Partant d’un sujet humble (portrait, nature morte, paysage), Madeleine Lambert, distille, élimine et ajoute, jusqu’à ce que se trouve devant elle une image indépendante et seule. Dans tout ce que j’ai vu de son œuvre, je retrouve toujours cette force qui fait respirer les toiles de certains et dont le manque fait la médiocrité des autres. » (Jim Leon, extrait du catalogue : Rencontre lyonnaise, 1962.)