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Commune parole. Le silence des communistes
EditeurLa passe du vent
Collection
Date de parution11/2013
ISBN/code barre978-2-84562-241-8
Format (mm)120 × 180 mm
ReliureBroché
Nombre de pages70
Poids82 g
Dix ans après la chute du Mur, un syndicaliste italien prend sa plus belle plume et écrit à deux anciens responsables communistes. C’est ainsi que commence l’introduction du livre Le Silence des communistes écrit par Vittorio Foa, ce syndicaliste qui interroge Miriam Mafai et Alfredo Reichlin, anciens dirigeants communistes italiens. Dix ans après, la chute du Mur apparaît désormais à la lumière des attentats de New York en 2001, du choc des civilisations, des nouvelles guerres anti-terroristes et notamment des deux guerres d’Irak, des émeutes répétées de la faim, d’une Chine désormais éveillée, puissance ancienne et nouvelle, socialiste et capitaliste, des crises économiques et financières successives jusqu’à celle, explosant en 2009, qui fait brutalement écho à 1929, à ce siècle ancien qui voyait la construction des partis communistes, la concrétisation de l’utopie socialiste, siècle qui trouve un écho dans la réapparition en Amérique Latine de projets socialistes, de peuples surgissant debout d’anciennes dictatures pour bousculer les agendas planétaires. Le livre posait des questions sur le communisme, s’interrogeant sur la liberté, la paix, la démocratie, reprenant l’affirmation de Marx voulant faire passer l’homme du « règne de la nécessité au règne de la liberté ». Ne faut-il pas reprendre les réponses de Miriam et Alfredo aujourd’hui ?
Dix ans après la chute du Mur, un syndicaliste italien prend sa plus belle plume et écrit à deux anciens responsables communistes. C’est ainsi que commence l’introduction du livre Le Silence des communistes écrit par Vittorio Foa, ce syndicaliste qui interroge Miriam Mafai et Alfredo Reichlin, anciens dirigeants communistes italiens. Dix ans après, la chute du Mur apparaît désormais à la lumière des attentats de New York en 2001, du choc des civilisations, des nouvelles guerres anti-terroristes et notamment des deux guerres d’Irak, des émeutes répétées de la faim, d’une Chine désormais éveillée, puissance ancienne et nouvelle, socialiste et capitaliste, des crises économiques et financières successives jusqu’à celle, explosant en 2009, qui fait brutalement écho à 1929, à ce siècle ancien qui voyait la construction des partis communistes, la concrétisation de l’utopie socialiste, siècle qui trouve un écho dans la réapparition en Amérique Latine de projets socialistes, de peuples surgissant debout d’anciennes dictatures pour bousculer les agendas planétaires. Le livre posait des questions sur le communisme, s’interrogeant sur la liberté, la paix, la démocratie, reprenant l’affirmation de Marx voulant faire passer l’homme du « règne de la nécessité au règne de la liberté ». Ne faut-il pas reprendre les réponses de Miriam et Alfredo aujourd’hui ?