Thursday 12 December 2024
My account
You are not logged into the system
.
Payment secured by Credit Agricole e-transactions
Basket
The basket is empty

À compter du 29 août 2018 les connexions sont cryptées pour la sécurité de vos paiements.

Allées 11-21. Portrait de notre tour avant qu’elle tombe (Milan Otal)

Otal Milan

Allées 11-21. Portrait de notre tour avant qu’elle tombe

EditeurLa passe du vent

CollectionHors collection

Date de parution02/2018

ISBN/code barre978-2-84562-316-3

Format (mm)168 × 224 mm

ReliureBroché

Nombre de pages212

Poids510 g

IllustrationPhotographes Lucie Moraillon et Antoine Boureau

Price £ 15.00
Run over

Allées 11-21, c’est l’histoire d’un éléphant qui essaie de sortir d’un mur et c’est les gens de la barre Monmousseau qui racontent comment ça se fait qu’ils sont toujours là et c’est aussi le quartier et tout ce qui s’y passe de canardisation quand ça fête les vacances de la Toussaint en attendant que le quartier Monmousseau s’appelle encore comme ça. Le livre Allées 11-21 a été réalisé dans le cadre d’une action de l’association Dialogues en photographie menée par les photographes Lucie Moraillon et Antoine Boureau, et l’écrivain Milan Otal lors des vacances de la Toussaint 2017. Pendant un mois, ils résident au sein d’une barre HLM vouée à la destruction dans le quartier Monmousseau des Minguettes*, à Vénissieux. Chaque jour, ils rencontrent les locataires, les interviewent, les mettent en relation avec des jeunes du quartier. Par une initiation à la photographie, les jeunes fixent ce moment-charnière et vont constituer un puzzle photographique réunissant leurs visions des espaces, des personnes et des perspectives. Ces jeunes, se sont : Aminata Savane, Bilel Nekoul, Hadama Sidibé, Ibrahima Napoléon Miguel, Ilham Bououchma, Mattéo Vargas, Nadine Salah, Nassim Samri, Ramzi Farah, Rayan Oussada, Selim Oussada, Tarek Gorine, Wassim Ayari.(* Les Minguettes, qui tirent leur nom de Gallien Minguet, bourgeois lyonnais qui possédait le domaine au XVIIe siècle, ont été construites entre 1965 et 1973 et occupent un site de près de deux cents hectares au sud-ouest de la commune de Vénissieux. Elles accueillent aujourd’hui près de vingt mille habitants logés dans sept mille huit cents logements dont six mille cinq cents HLM — répartis entre onze logeurs et bailleurs — et mille trois cents copropriétés. Près d’un millier d’appartements y on été détruits depuis les années 1980.)

Allées 11-21, c’est l’histoire d’un éléphant qui essaie de sortir d’un mur et c’est les gens de la barre Monmousseau qui racontent comment ça se fait qu’ils sont toujours là et c’est aussi le quartier et tout ce qui s’y passe de canardisation quand ça fête les vacances de la Toussaint en attendant que le quartier Monmousseau s’appelle encore comme ça. Le livre Allées 11-21 a été réalisé dans le cadre d’une action de l’association Dialogues en photographie menée par les photographes Lucie Moraillon et Antoine Boureau, et l’écrivain Milan Otal lors des vacances de la Toussaint 2017. Pendant un mois, ils résident au sein d’une barre HLM vouée à la destruction dans le quartier Monmousseau des Minguettes*, à Vénissieux. Chaque jour, ils rencontrent les locataires, les interviewent, les mettent en relation avec des jeunes du quartier. Par une initiation à la photographie, les jeunes fixent ce moment-charnière et vont constituer un puzzle photographique réunissant leurs visions des espaces, des personnes et des perspectives. Ces jeunes, se sont : Aminata Savane, Bilel Nekoul, Hadama Sidibé, Ibrahima Napoléon Miguel, Ilham Bououchma, Mattéo Vargas, Nadine Salah, Nassim Samri, Ramzi Farah, Rayan Oussada, Selim Oussada, Tarek Gorine, Wassim Ayari.(* Les Minguettes, qui tirent leur nom de Gallien Minguet, bourgeois lyonnais qui possédait le domaine au XVIIe siècle, ont été construites entre 1965 et 1973 et occupent un site de près de deux cents hectares au sud-ouest de la commune de Vénissieux. Elles accueillent aujourd’hui près de vingt mille habitants logés dans sept mille huit cents logements dont six mille cinq cents HLM — répartis entre onze logeurs et bailleurs — et mille trois cents copropriétés. Près d’un millier d’appartements y on été détruits depuis les années 1980.)