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À hauteur d’homme (Lionel Bourg)

Bourg Lionel

À hauteur d’homme

EditeurLa passe du vent

CollectionPépites

Date de parution12/2012

ISBN/code barre978-2-84562-220-3

Format (mm)125 × 210 mm

ReliureBroché

Nombre de pages78

Poids101 g

Price £ 5.00
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« Comme la plupart des lecteurs, je ne m’absorbe guère dans l’œuvre de Rousseau sans être renvoyé, confronté aux méandres de mon existence. Des hommes ou de très jeunes gens y côtoient femmes et gamins, attestent des traits familiers ou se travestissent dans le sillage d’une fantomatique retraite aux flambeaux. Les uns gambadent. Plusieurs claudiquent. Des vergers, des jardins, et des forêts, des landes comme des éboulis accrochés au versant d’une colline, des venelles, ou des esplanades, trois ou quatre maisons s’unissent alors en ce chaos que j’essaie d’ordonner, pierre à pierre, phrase sur phrase ou l’une prolongeant celle que je ne parviens pas à extraire du fouillis d’impressions, de sentiments et de pensées souvent informes qui me tarabustent, marchant, maugréant, m’identifiant enfin à ce drôle de paroissien dont émane pour moi toute littérature… » (Lionel Bourg.) Cette publication s’inscrit dans le cadre des commémorations liées au tricentenaire de la naissance de Jean-Jacques Rousseau, né le 28 juin 1712, à Genève, mort le 2 juillet 1778, à Ermenonville.

« Comme la plupart des lecteurs, je ne m’absorbe guère dans l’œuvre de Rousseau sans être renvoyé, confronté aux méandres de mon existence. Des hommes ou de très jeunes gens y côtoient femmes et gamins, attestent des traits familiers ou se travestissent dans le sillage d’une fantomatique retraite aux flambeaux. Les uns gambadent. Plusieurs claudiquent. Des vergers, des jardins, et des forêts, des landes comme des éboulis accrochés au versant d’une colline, des venelles, ou des esplanades, trois ou quatre maisons s’unissent alors en ce chaos que j’essaie d’ordonner, pierre à pierre, phrase sur phrase ou l’une prolongeant celle que je ne parviens pas à extraire du fouillis d’impressions, de sentiments et de pensées souvent informes qui me tarabustent, marchant, maugréant, m’identifiant enfin à ce drôle de paroissien dont émane pour moi toute littérature… » (Lionel Bourg.) Cette publication s’inscrit dans le cadre des commémorations liées au tricentenaire de la naissance de Jean-Jacques Rousseau, né le 28 juin 1712, à Genève, mort le 2 juillet 1778, à Ermenonville.