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Corps étranger
EditeurLa passe du vent
Québec Amérique
CollectionPoésie
Date de parution03/2008
ISBN/code barre978-2-84562-128-2
Format (mm)140 × 215 mm
ReliureBroché, couverture avec rabats
Nombre de pages128
Poids195 g
Dans ce poème, où il est clairement indiqué que l’amour pousse pire à Montréal que le chiendent, Catherine Lalonde nous entraîne dans un corps à corps singulier, érotique et mystérieux, mais avec la retenue nécessaire à ce genre d’exercice — tout à la fois sensuel, charnel et spirituel. Mais ce qui compte le plus ici, elle (Catherine) le dit à son « immigrant illégal », son étrange étranger : « Tu massacres ma retenue et les dictionnaires. » On l’aura compris, le sens — au bon sens du terme — ici importe peu, c’est le rythme qui dicte sa loi : « Tu me laisses en flaque jouie au soleil », c’est la langue qui impose ses vertus : « Ta langue de marché noir sur mon corps comme sur une boucherie ». Un texte où la chair enfin s’incarne ! Prix Émile Nelligan 2009.
Dans ce poème, où il est clairement indiqué que l’amour pousse pire à Montréal que le chiendent, Catherine Lalonde nous entraîne dans un corps à corps singulier, érotique et mystérieux, mais avec la retenue nécessaire à ce genre d’exercice — tout à la fois sensuel, charnel et spirituel. Mais ce qui compte le plus ici, elle (Catherine) le dit à son « immigrant illégal », son étrange étranger : « Tu massacres ma retenue et les dictionnaires. » On l’aura compris, le sens — au bon sens du terme — ici importe peu, c’est le rythme qui dicte sa loi : « Tu me laisses en flaque jouie au soleil », c’est la langue qui impose ses vertus : « Ta langue de marché noir sur mon corps comme sur une boucherie ». Un texte où la chair enfin s’incarne ! Prix Émile Nelligan 2009.