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Ré-inventer la politique culturelle ?
EditeurLa passe du vent
CollectionFaire Cité
Date de parution08/2012
ISBN/code barre978-2-84562-209-8
Format (mm)140 × 205 mm
ReliureBroché
Nombre de pages380
Poids500 g
Organisé les 19 et 20 novembre 2009 à Lyon, le colloque Ré-inventer la politique culturelle ? a rassemblé plus de quatre cents participants — artistes, professionnels de la culture, administrateurs, élus, chercheurs, experts et étudiants. Son ambition a été, non pas de dire ce que devrait être la politique culturelle, mais de mettre au jour les évolutions dont il importe désormais de tenir compte. « Communautés éphémères », « Art partout / Esthétisation du quotidien », « Expérience sensible / Expérience esthétique » : sur ces trois thèmes, une vingtaine d’intervenants ont accepté de mettre en forme et / ou de prolonger par écrit leurs réflexions. Si, bien souvent, les avis divergent, l’unanimité se fait sur un même constat, qu’Yves Michaud, invité à livrer la synthèse, résume en évoquant « l’apparition récente mais indiscutable d’un nouveau paradigme dans notre relation à l’art et à la culture ». Une même évolution semble en effet caractériser notre monde : ce qui semblait exister « en soi » et posséder une identité pérenne propre — les sociétés, les territoires, les œuvres — est désormais le fait toujours actualisé des relations que des personnes entretiennent entre elles, avec leur environnement comme avec l’art et la culture.
Organisé les 19 et 20 novembre 2009 à Lyon, le colloque Ré-inventer la politique culturelle ? a rassemblé plus de quatre cents participants — artistes, professionnels de la culture, administrateurs, élus, chercheurs, experts et étudiants. Son ambition a été, non pas de dire ce que devrait être la politique culturelle, mais de mettre au jour les évolutions dont il importe désormais de tenir compte. « Communautés éphémères », « Art partout / Esthétisation du quotidien », « Expérience sensible / Expérience esthétique » : sur ces trois thèmes, une vingtaine d’intervenants ont accepté de mettre en forme et / ou de prolonger par écrit leurs réflexions. Si, bien souvent, les avis divergent, l’unanimité se fait sur un même constat, qu’Yves Michaud, invité à livrer la synthèse, résume en évoquant « l’apparition récente mais indiscutable d’un nouveau paradigme dans notre relation à l’art et à la culture ». Une même évolution semble en effet caractériser notre monde : ce qui semblait exister « en soi » et posséder une identité pérenne propre — les sociétés, les territoires, les œuvres — est désormais le fait toujours actualisé des relations que des personnes entretiennent entre elles, avec leur environnement comme avec l’art et la culture.