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Hommes de l’avenir, souvenez-vous de nous ! (Collectif )

Collectif

Hommes de l’avenir, souvenez-vous de nous !

EditeurLa passe du vent

CollectionHaute Mémoire

Date de parution02/2018

ISBN/code barre978-2-84562-318-7

Format (mm)140 × 205 mm

ReliureBroché

Nombre de pages168

Poids243 g

IllustrationIllustrations des étudiants de l’École Émile-Cohl

Prix 12,00 €
Feuilleter

Hommes de l’avenir, souvenez-vous de nous ! Une anthologie pour saluer Guillaume Apollinaire.« Hommes de l’avenir, souvenez-vous de moi… », s’exclame Guillaume Apollinaire dans « Vendémiaire », le poème qui clôt son recueil Alcools, paru en 1913. Cinq ans plus tard, le poète disparaissait à trente-huit ans, terrassé par… la grippe espagnole, le 9 novembre 1918, deux jours avant l’armistice qui mettait fin à la Première Guerre mondiale. Pour aider à « se souvenir », à travers l’auteur de Calligrammes, des dix millions de victimes de la Grande Guerre, le présent ouvrage réunit, dans la diversité de leurs voix, onze poètes ou écrivains de notre temps. Et regroupe aussi, outre le texte du spectacle créé à l’occasion de ce centenaire, une vingtaine de dessins dus à de jeunes artistes, qui ont aujourd’hui l’âge qu’avaient la plupart des combattants de 14-18.Autant de contributions pour redire avec un autre grand poète du 20e siècle, Jacques Prévert : « Quelle connerie la guerre ! ». Et quel précieux bienfait que la paix…Une vingtaine de dessins choisis parmi ceux réalisés, sous la houlette de leur enseignant, Dominique Simon, par cent quarante – oui, cent quarante ! – étudiants de l’École Émile-Cohl illustre cet ouvrage.

Hommes de l’avenir, souvenez-vous de nous ! Une anthologie pour saluer Guillaume Apollinaire.« Hommes de l’avenir, souvenez-vous de moi… », s’exclame Guillaume Apollinaire dans « Vendémiaire », le poème qui clôt son recueil Alcools, paru en 1913. Cinq ans plus tard, le poète disparaissait à trente-huit ans, terrassé par… la grippe espagnole, le 9 novembre 1918, deux jours avant l’armistice qui mettait fin à la Première Guerre mondiale. Pour aider à « se souvenir », à travers l’auteur de Calligrammes, des dix millions de victimes de la Grande Guerre, le présent ouvrage réunit, dans la diversité de leurs voix, onze poètes ou écrivains de notre temps. Et regroupe aussi, outre le texte du spectacle créé à l’occasion de ce centenaire, une vingtaine de dessins dus à de jeunes artistes, qui ont aujourd’hui l’âge qu’avaient la plupart des combattants de 14-18.Autant de contributions pour redire avec un autre grand poète du 20e siècle, Jacques Prévert : « Quelle connerie la guerre ! ». Et quel précieux bienfait que la paix…Une vingtaine de dessins choisis parmi ceux réalisés, sous la houlette de leur enseignant, Dominique Simon, par cent quarante – oui, cent quarante ! – étudiants de l’École Émile-Cohl illustre cet ouvrage.