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« J’ai cessé de me désirer ailleurs » (Collectif )

Collectif

« J’ai cessé de me désirer ailleurs »

EditeurLa passe du vent

CollectionHaute Mémoire

Date de parution07/2016

ISBN/code barre978-2-84562-293-7

Format (mm)140 × 205 mm

ReliureBroché

Nombre de pages224

Poids314 g

IllustrationPhotographies Robert Guyon et Lionel Bourg

Prix 15,00 €
Feuilleter

Il y a tout juste cinquante ans, le 28 septembre 1966, « le rideau tombait » à l’hôpital Lariboisière sur la vie d’André Breton. La veille, une ambulance l’avait transporté d’urgence depuis sa maison de Saint-Cirq-Lapopie, cette commune lotoise qui, seize ans plus tôt, lui était « apparue comme une rose impossible dans la nuit », l’amenant à déclarer : « J’ai cessé de me désirer ailleurs ». Le théoricien du surréalisme, l’auteur inspiré de Nadja, le chantre de L’Amour fou, l’essayiste que passionnaient les arts extra-européens méritait bien l’hommage que lui rendent dans ce livre ces diverses voix venues de quatre continents, de l’Amérique à l’Europe, de l’Afrique à l’Océanie. Vingt-six auteurs contemporains réunis autour d’André Breton. Publiée avec la complicité de Laurent Doucet, président de l’association La Rose impossible (Saint-Cirq-Lapopie), l’anthologie « J’ai cessé de me désirer ailleurs » est structurée en cinq chapitres qui, tous, empruntent leur titre à l’œuvre de Breton : « Sur la route qui monte et descend » ; « J’ai été ravi que tu m’écrives » ; « Ralentir travaux » ; « Qui vive ? Est-ce vous, Nadja ? » ; « Les vases communicants ».  Des voix sombres, des voix radieuses, des voix sonores, des voix familières, des voix qui n’ont plus rien à perdre et des voix plus optimistes, encore. Et toujours des voix libres, libérées, sans aucune contrainte et sans aucun sens interdit. Pour saluer celui qui, avec obstination, chercha « l’or du temps ».

Il y a tout juste cinquante ans, le 28 septembre 1966, « le rideau tombait » à l’hôpital Lariboisière sur la vie d’André Breton. La veille, une ambulance l’avait transporté d’urgence depuis sa maison de Saint-Cirq-Lapopie, cette commune lotoise qui, seize ans plus tôt, lui était « apparue comme une rose impossible dans la nuit », l’amenant à déclarer : « J’ai cessé de me désirer ailleurs ». Le théoricien du surréalisme, l’auteur inspiré de Nadja, le chantre de L’Amour fou, l’essayiste que passionnaient les arts extra-européens méritait bien l’hommage que lui rendent dans ce livre ces diverses voix venues de quatre continents, de l’Amérique à l’Europe, de l’Afrique à l’Océanie. Vingt-six auteurs contemporains réunis autour d’André Breton. Publiée avec la complicité de Laurent Doucet, président de l’association La Rose impossible (Saint-Cirq-Lapopie), l’anthologie « J’ai cessé de me désirer ailleurs » est structurée en cinq chapitres qui, tous, empruntent leur titre à l’œuvre de Breton : « Sur la route qui monte et descend » ; « J’ai été ravi que tu m’écrives » ; « Ralentir travaux » ; « Qui vive ? Est-ce vous, Nadja ? » ; « Les vases communicants ».  Des voix sombres, des voix radieuses, des voix sonores, des voix familières, des voix qui n’ont plus rien à perdre et des voix plus optimistes, encore. Et toujours des voix libres, libérées, sans aucune contrainte et sans aucun sens interdit. Pour saluer celui qui, avec obstination, chercha « l’or du temps ».

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